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Ironique et Sarcastique L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

La Langue de Bois

🎵 Une chanson originale inspirée par Georges Brassens

https://youtu.be/jLKb3QPLLNs

Connaissez-vous la langue de bois ? En tout cas, ne comptez pas sur moi pour cet exercice !

Une chanson qui dénonce l’hypocrisie des discours politiques et médiatiques actuels. Entre l’éloge des vraies langues qui « consolent, griffent et savent se faire aimer » et une critique acerbe de cette « langue de bois » qui nous ment sur l’écologie, la liberté, le progrès…

🔥 Des « langues de bois » aux « langues de feu » – un hymne à la résistance par les mots !

✍️ Texte original : [Votre nom]
🎼 Musique générée par Suno AI
🎨 Pochette style vintage

ChansonFrançaise #Brassens #ChansonEngagée #Critique #Société #Résistance #Écologie #Politique #Suno #AI #Music #ChansonOriginale #LangueDeFeu #AntiMoutons #Vérité #Authentique #Réveil #PenséeLibre #ChansonContemporaine #TexteOriginal

Si cette chanson vous parle, n’hésitez pas à la partager !

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Les paltoquets hauts du sifflet !

Un mélange de Slam et de Reggae 🎵

Une chanson engagée contre ceux qui donnent des leçons à tout va dans notre vie de tous les jours. Vous les reconnaissez : ceux qui arrivent avec leurs idées toutes faites, parlent fort et réfléchissent peu. Qu’ils viennent des médias, des réseaux sociaux ou que vous les croisiez dans la rue, ils ont toujours la bonne réponse, la bonne explication, le bon jugement.

Ce morceau vise aussi bien les « experts » auto-proclamés qui étalent leur savoir superficiel, que ceux qui, avec un peu de connaissances, jugent sans jamais se remettre en question. Car au fond, c’est peut-être cela le plus grave : cette incapacité à douter, cette peur du silence, cette peur du vide qui pousse à combler l’espace de mots sans substance.

L’inspiration de cette chanson vient d’une journée particulièrement riche en rencontres de ce type, mais aussi de cette lassitude face à l’omniprésence de ces « paltoquets hauts du sifflet » sur nos écrans et dans nos fils d’actualité.

Un slam-reggae pour dire stop à la suffisance, et rappeler que parfois, le vrai savoir commence par se taire et écouter.

🎯 Thèmes abordés :

Critique de la suffisance intellectuelle
Réseaux sociaux et expertises auto-proclamées
L’importance du doute et de l’humilité
La différence entre savoir et sagesse

🎼 Style musical : Slam sur un rythme reggae léger

« Parce que le savoir, ce n’est pas une pancarte, c’est un doute qui avance à cloche-pied… »

slam #reggae #critique #société #réseauxsociaux #suffisance #philosophie #humilité #doute

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Ironique et Sarcastique L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

L’Ascension, c’était en joint !

Ce jeudi de l’Ascension, sur Facebook, je ne vois que des représentations de Jésus gonflées à l’hélium des croyances de chacun. En tant qu’athée et agnostique, j’ai voulu répondre à ma manière. Franchement, combien de personnes voyez-vous s’envoler vers le ciel sans aide ? Bref, croyez si vous le souhaitez, mais pour moi, cette histoire est trop belle pour être vraie. Si Jésus s’est élevé vers le ciel, ce n’était probablement pas de manière très catholique ou orthodoxe… peut-être avec des moyens plus « stupéfiants » ? Voici une touche de fiction sarcastique.

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Où est la lumière ?

Quand l’insomnie devient poésie

Slam nocturne : À la recherche de lumière
🌙 23h24 – Quand l’insomnie se transforme en inspiration

La nuit était déjà bien avancée… J’aurais dû être endormi depuis longtemps, mais les petites lumières du jardin voisin ont attiré mon regard. Ces lanternes qui brillent dans l’obscurité, que cherchent-elles à révéler ? Que tentent-elles de chasser ?

Impossible de trouver le sommeil. Mon esprit s’est mis à vagabonder, les mots ont commencé à affluer… Et c’est ainsi que, en pleine nuit, ce slam sur nos petites lumières face à l’immensité de l’obscurité est né.

Parfois, c’est dans ces moments d’insomnie que naissent les plus belles réflexions. Quand la nuit nous pousse à nous interroger sur notre place dans ce monde, sur ces fragiles éclats de lumière que nous allumons pour exister.

✨ « Où est la lumière tandis que j’erre dans ce monde qui s’indiffère ? »

Je vous partage ce texte né de la nuit, entre questionnement existentiel et poésie urbaine.

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Mais où va-t-on ? - Indignation et rébellion

Héroïque et ridicule !

Entre la grandeur et l’absurdité

Dans les vieux journaux de mon père, dispersés par ma mère, j’avais un jour découvert des récits de la Première Guerre mondiale. Ces pages jaunies portaient les échos d’une époque où l’héroïsme était idéalisé, où les corps brisés s’entassaient dans la boue des tranchées, sacrifiés pour la gloire.

Parmi ces vestiges, une figure me poursuivait : celle du poilu de Verdun, seul face à l’ennemi, criant : « On ne passe pas ! » Une scène d’un autre temps, pensons-nous. Pourtant, combien d’entre nous ne sont-ils pas ces mêmes soldats, face aux défis systémiques qui submergent nos vies ? Combien murmurent leur propre « On ne passe pas » face aux tempêtes modernes ?

Car que peut l’individu face à la foule, face aux tourbillons où vie et mort, espoir et désespoir se mêlent ? Rien, sinon être à la fois héroïque et ridicule. À moins de choisir la lâcheté de la fuite pour sauver sa peau.

Lorsque, contre toute raison, on tente de résister, on devient si dérisoire que cette absurdité acquiert une dimension sublime.

Aujourd’hui, une réunion de plus, pour rien, ou plutôt pour tout et rien : valider des décisions déjà prises, exécuter un rituel où l’on nous berce de l’illusion d’infléchir le cours de l’Histoire. Comme un fantassin face aux mitrailleuses et aux blindés.

De qui se moque-t-on ?

Durant une heure et demie de simulacre, j’ai joué un double rôle : décoratif par ma fonction purement ornementale, comme une croix blanche dans un cimetière militaire ; superficiel par ma présence destinée à masquer le vide des mesures prises ou à prendre, qu’il vaudrait mieux oublier.

S’ajoute à cela la cruelle réalité : avec l’âge, on devient transparent, invisible, insignifiant. Fantôme de soi-même dans un monde qui ne nous voit plus.

Je refuse désormais de participer à ce mauvais numéro, à ce simulacre de tragédie comique où le tragédien revêt l’accoutrement grotesque du clown. Son nez rouge fait « pouet-pouet » tandis que l’héroïne qu’il devait sauver expire dans ses bras dérisoires.

Voilà où je me dresse, voilà où nous en sommes : entre la grandeur et l’absurdité, dans cette valse éternelle où chaque geste de résistance porte en lui sa propre contradiction.

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Ironique et Sarcastique L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Complètement idiots !

Une parodie pour répondre aux détracteurs de l’IA

En avez-vous assez des commentaires alarmistes sur l’intelligence artificielle émis par ceux qui ne l’ont jamais utilisée ? Cette chanson est faite pour vous !

Cette parodie humoristique et sarcastique est une reprise adaptée de « Un truc complètement idiot » des « Double dingues ». J’ai réinventé ce classique quelque peu oublié pour dénoncer les critiques injustifiées qui s’abattent sur l’intelligence artificielle.

À travers cette adaptation, je m’adresse directement à tous ces « experts » autoproclamés qui s’affolent face à l’innovation sans même chercher à la comprendre. Le rythme entraînant et les paroles piquantes de l’original servent désormais à ridiculiser cette peur irrationnelle de la technologie.

Une invitation musicale à dépasser ses appréhensions et à découvrir enfin le potentiel extraordinaire de l’IA, bien loin des fantasmes catastrophistes !

IA #ParodieMusicale #DoubleDingues #TechHumour #IntelligenceArtificielle #CritiqueDesCritiques

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Python mon Amour

🎵 Une rencontre inattendue entre funk, IA et nuits de code


Une heureuse coïncidence entre le groove funky, la poésie à la Gainsbourg et l’intelligence artificielle. Cette création originale saisit l’essence des relations tumultueuses entre le programmeur et sa machine.

Sans chercher à copier « Chagrin d’amour », cette chanson a naturellement trouvé son propre groove funky, évoquant l’univers de Gainsbourg. Entre cigarettes virtuelles et bugs existentiels, « Python Mon Amour » explore la dépendance numérique avec une ironie mordante et une sensualité provocante.

À écouter de préférence à minuit, entre deux sessions de débogage, un verre de bourbon à portée de main et une erreur d’indentation sur l’écran.

💻 Des paroles nées d’une collaboration humain-IA, transformant la frustration informatique en poésie nocturne.
🎸 Une fusion spontanée de funk digital et d’existentialisme du programmeur.
🚬 « Le temps de debugger… c’est le temps perdu à t’aimer »

IAGénérative #Python #Funk #CréationOriginale #NuitsBlanches #CodeEtMusique #NameError #CollaborationHommeIA

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Quand le loup se gains’barre »

Un hommage sombre et sensuel

Découvrez un univers ténébreux où la poésie se mêle à un groove minimaliste. « Quand le loup se gains’barre » réinvente l’esprit de la chanson française des années 60 avec une touche moderne.

Cette œuvre originale explore les désirs refoulés et les frustrations sensuelles à travers une voix masculine profonde et une interprétation délibérément monotone, caractéristique d’une époque où l’ironie côtoyait l’érotisme.

Inspiré de mes anciens textes redécouverts et de l’univers des chansons de Serge Gainsbourg, ce morceau cinématographique vous plonge dans un Paris nocturne, entre cafés enfumés et ruelles mystérieuses. Les arrangements électroniques rudimentaires se mêlent à des passages parlés qui explorent la dualité entre l’homme civilisé et la bête qui sommeille en lui.

Un voyage sonore urbain et sombre, où le funk minimaliste met en valeur une poésie crue et sans concession. Pour les amateurs de chanson française authentique, de pop percussive et d’ambiances années 60.

#ChansonFrançaise #HommageGainsbourg #PoésieSonore #FunkMinimaliste #MusiqueCinématique #VocalsParléChantés #AmbianceUrbaine #NoirSixties #ÉlectroniqueRétro #PopPercussive

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Les êtres néants

Un texte découvert par hasard, écrit il y a des années et retrouvé en rangeant mon garage, a été transformé en une chanson inspirée de Gainsbourg, dans le style de « Requiem pour un con ».

La bureaucratie et ses absurdités sont exposées sans fard : sur le boulevard de l’absurde, ces fonctionnaires « nés pour fonctionner », qui « ne peuvent rien faire mais se permettent tout ». Une critique sociale intemporelle, portée par une basse électrique funk minimaliste, une caisse claire sèche et des bongos en contretemps.

Pour tous ceux qui ont déjà égaré leur dossier dans les méandres administratifs, qui ont rêvé « de donner de grands coups de pied à l’État croupion » ou qui ont subi « le règne des incapables qui joignent l’inutile au désagréable ».

📌 Informations :

Texte original : "Les Êtres Néants"
Adaptation musicale : style Serge Gainsbourg - funk minimaliste
Voix masculine grave et monotone
Ambiance : cinématique sombre, urbaine, noir français

« Vous êtes capables de tout mais vous ne pourrez rien,
car c’est le règne des incapables
qui joignent l’inutile au désagréable. »

🔊 Composition sonore :

Basse électrique
Voix parlée-chantée, grave et ironique

#GainsbourgStyle #PoésieFrançaise #CritiqueSociale #SpokenWord #FunkMinimaliste #TexteEngagé #Bureaucratie #PoésieUrbaine #MusiqueFrançaise #ChansonFrançaise

Si vous avez vécu des expériences similaires avec l’administration, partagez vos histoires en commentaire !

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Le printemps m’éveille

« Le printemps m’éveille » est né d’un paradoxe matinal plutôt amusant. Imaginez : un dimanche de printemps à 8h30, sans aucune obligation de me lever, avec la possibilité de faire la grasse matinée… et pourtant, c’est précisément ce matin-là que l’envie de créer m’a tiré du lit ! Une lueur particulière à ma fenêtre m’a attiré, et en l’ouvrant, j’ai été littéralement saisi par l’essence du printemps.

Ce qui a commencé comme quelques vers épars dans mon carnet s’est transformé en une chanson complète, grâce à un travail « assisté par IA », comme j’aime le dire. L’intelligence artificielle m’a aidé à structurer mes idées pour donner forme à ce texte poétique.

Pour la musique, j’ai longtemps hésité entre différents styles. J’ai essayé l’électro-swing (trop de « boom boom » à mon goût !), avant de trouver le compromis idéal : des couplets plus calmes avec un refrain vif et dynamique, le tout dans un style jazz manouche qui capture vraiment l’esprit joyeux du printemps.

Guitare, violon, contrebasse et clarinette s’entrelacent pour créer cette ambiance à la fois douce et entraînante, mise en musique avec l’aide de Suno.

Il est amusant de constater que c’est parfois quand on n’a aucune obligation que l’inspiration nous trouve ! J’espère que cette chanson vous donnera aussi envie de vous lever et de profiter des simples beautés qui nous entourent.