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Les essais de Pascal

Bonjour et bienvenue sur ‘L’oreille du psy – Les essais de Pascal’. Ce blog est l’expression de mon esprit créatif, un vélo qui tourne souvent en roue libre, explorant des chemins inattendus et produisant des idées uniques. Comme une bouteille lancée à la mer, j’ai décidé de partager mes pensées avec le monde à travers ce support.

‘Ces essais’ sont un carrefour d’approches diverses. Vous y trouverez des essais littéraires, des lettres ouvertes, des réflexions profondes, des créations artistiques, des chants et des vidéos. Parfois sérieux, parfois humoristique, ce blog est un reflet de la diversité de la pensée humaine.

Mon souhait est que ce blog devienne un lieu d’interaction, un cycle vertueux où mes pensées touchent le plus grand nombre et suscitent des réflexions, des discussions et des échanges.

Blaise Pascal, cultivait ses pensées, tout comme lui, je cultive les miennes, mais c’est à Michel de Montaigne que je dois l’inspiration de partager mes essais avec le monde. Comme Montaigne, je crois que la valeur de ces essais n’est pas à moi de la déterminer. Mon rôle est simplement de les partager, de les lancer dans le monde, et de voir où ils atterrissent.

Je vous invite donc à explorer ‘L’oreille du psy’, à lire, à réfléchir, à rire, à discuter. Et qui sait ? Peut-être que vous aussi, vous découvrirez que votre cerveau a un petit vélo créateur qui tourne en roue libre.

Pascal Rivière

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Ironique et Sarcastique L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Les Singes en Costumes

Salut à tous ! Aujourd’hui, j’ai quelque chose de spécial à vous présenter.

J’ai créé une chanson satirique intitulée ‘Les Singes en Costumes’. Elle s’inspire des travaux fascinants de deux grands primatologues : Desmond Morris et Frans de Waal.

Dans cette chanson, j’explore avec ironie les ressemblances frappantes entre nous, humains en société, surtout dans les milieux de pouvoir, et nos cousins primates. Croyez-moi, les similitudes sont plus nombreuses qu’on ne le pense !

J’y parle de tout : de la façon dont on marque notre territoire au bureau, de nos rituels sociaux qui ressemblent étrangement au ‘grooming’ des singes, et même de comment nos smartphones dernier cri ne sont peut-être que les nouveaux symboles de dominance primitive.

Mais ne vous méprenez pas ! Derrière l’humour, je veux vraiment nous faire réfléchir sur notre nature profonde. Qui sommes-nous vraiment sous nos costumes et nos titres ronflants ?

J’aborde aussi des idées plus récentes, comme l’empathie chez les primates. Ça m’a fait réaliser que ce qu’on appelle ‘humanité’ est peut-être plus ancien qu’on ne le croit.

Alors installez-vous confortablement et préparez-vous à voir votre bureau ou l’Assemblée nationale d’un œil nouveau. Je parie que vous allez commencer à repérer ces comportements de ‘primates’ partout… peut-être même chez vous !

Si cette chanson vous fait sourire ou réfléchir, n’hésitez pas à liker, commenter et partager. Et j’ai une question pour vous : dans votre vie de tous les jours, vous vous sentez plutôt chimpanzé ou bonobo ? Dites-le moi dans les commentaires !

Allez, bonne écoute et à bientôt pour de nouvelles aventures simiesco-humaines !

Les Singes en Costumes

Couplet 1
Le torse bombé, la cravate comme un pelage
Ils paradent fièrement, marquant leur passage
Dans les couloirs du pouvoir, leur territoire
Ils grognent et gesticulent pour la victoire (Aie aie aie)


Couplet 2
Réunions d’affaires, rituels de toilettage
On se flatte, on s’épouille, c’est un grooming à la page
Poignées de main fermes et regards appuyés
La hiérarchie s’établit sans même parler (Tais toi ou j’te tape !)


Refrain
Dans la jungle de béton, les singes en costume
Jouent leur comédie, suivent leurs coutumes
Sous le vernis de la civilisation (Ah non !)
Se cache une primitive ambition (Quels cons)


Couplet 3
Montres de luxe et voitures rutilantes
Remplacent les couleurs vives des primates
Par ces symboles, ils affirment leur statut
Dans ce monde où l’apparence fait vertu (Qui l’eut cru !)


Couplet 4
Coalition, alliances, on s’unit par intérêt
Comme les babouins formant leurs clans secrets
L’agressivité sublimée en compétition
Pour grimper toujours plus haut, quelle ambition ! (Attention !)


Refrain
Dans la jungle de béton, les singes en costume
Jouent leur comédie, suivent leurs coutumes
Sous le vernis de la civilisation (Oh non !)
Se cache une primitive ambition (Quels cons !)

Pont
Mais quand le conflit gronde, que faire ?
On apaise, on console, comme nos frères
Dans la savane ou dans les tours de verre
Mêmes gestes, mêmes instincts millénaires (Quelle misère !)


Couplet 5
La paix après la guerre, on se réconcilie
Comme les chimpanzés, on cherche l’harmonie
L’empathie nous guide, même au sommet du pouvoir
La morale du primate reste notre miroir


Nouveau pont
Chimpanzé ou bonobo, quelle est notre nature ?
Dominants ou aimants, quelle est notre culture ?
Entre guerre et amour, notre société balance
Comme nos cousins primates dans leur danse


Couplet final
De la salle de conseil à l’arène politique
On coopère, on transmet notre éthique
Le singe nu se drape de sophistication
Mais garde en lui sa nature de primate en action (Quelle réflection !)


Refrain
Dans la jungle de béton, les singes en costume
Jouent leur comédie, suivent leurs coutumes
Sous le vernis de la civilisation (Ah non !)
Se cache une primitive ambition (Quels cons !)


Outro
Sous nos airs civilisés, nos manières raffinées
Le babouin en nous ne cesse de se révéler (Quelle idée !)

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

L’Alchimie du Clavier

Intro
Écoutez le flow numérique, le beat cybernétique
L’encre virtuelle coule, le clavier est magique

Couplet 1
Le clavier claque, constellation numérique,
Sur l’écran blanc, vide électronique.
Les mots tus, data lovés sous les doigts,
S’échappent enfin, leur code se déploie.

Ô curseur, sceptre d’or des royaumes virtuels,
Tu transmutes les larmes en pixels éternels.
Dans l’alambic du cloud, les vains maux distillés
Deviennent flux pur, algorithmes étoilés.

Refrain
Pour que les mots non dits ne deviennent pas des mots maudits !
On code nos pensées, on hacke nos vies
Les silences toxiques, on les transforme en symphonie
Dans le cloud infini, nos âmes se relient

Couplet 2
La beauté surgit des fenêtres béantes,
Fleurs de LED aux pétales éclatantes.
L’esthétisme, filtre diaphane et léger,
Pare l’affreux d’un éclat pixellisé.

Dans la forge des tweets, le poète-hacker
Transmute le spam vil en or de cyber.
La sublimation, ce mystère digital,
Fait des maux passés un trésor viral.

Couplet 3
Des pulsions obscures aux pixels lumineux,
Le code transmute le chaos en jeux.
Sur l’écran virtuel, alchimie des émotions,
Les désirs refoulés deviennent applications.

Le clavier, baguette magique de l’âme,
Transforme en beauté ce qui était drame.
Dans ce creuset digital, les ombres sublimées
S’élèvent en data, socialement likées.

Refrain
Pour que les mots non dits ne deviennent pas des mots maudits !
On code nos pensées, on hacke nos vies
Les silences toxiques, on les transforme en symphonie
Dans le cloud infini, nos âmes se relient

Outro
Le clavier se tait, l’écran s’éteint doucement
Mais les mots résonnent, éternellement

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Avec Philosophie Les essais de Pascal Rivière

Le Crocodile

Imaginons un instant que Louis-Claude de Saint-Martin ,le philosophe inconnu aie composé une chanson en rap pour parler du Crocodile, c’est à dire le mal qui guette l’homme ?

Plongez dans une atmosphère sombre et poétique avec « Le Crocodile », cette chanson rap alliant sagesse et mise en garde. Ce morceau raconte l’histoire d’un homme confronté aux dangers cachés sur le chemin de la vie et dans les recoins de la société. À travers des paroles puissantes et un rythme envoûtant, découvrez un message d’espoir et de résilience.

Intro

Verset 1
Mortel qui cherche en vain la paix et la sagesse,
Écoute ce poème, un cri de détresse.
Car sur le chemin de vie, parmi les fleurs,
Se cache un ennemi, semeur de douleurs.

L’homme, hélas, avance sur le chemin amer,
Sans voir le danger qui dans l’ombre se terre.
Le crocodile, perfide, attend son heure,
Pour mordre le rêve, répandre la peur.

Refrain
Garde ton cœur, mortel, au fil de ta route,
Ne cède pas au mal, aux ombres et au doute.
Car le crocodile, perfide et sans pitié,
Guette dans la nuit pour te faire tomber.

Verset 2
Sur la route de vie, si belle et fragile,
Veille bien, ô mortel, sur ton cœur, sois agile.
Car la bête rusée, dans la nuit se glisse,
Cherchant à saper ton joyeux édifice.

Dans la société, ce vaste labyrinthe,
Guette aussi l’ennemi, prêt à nous atteindre.
Masqué d’illusions, de fausses vérités,
Il séduit, il corrompt, ébranle nos cités.

Refrain
Garde ton cœur, mortel, au fil de ta route,
Ne cède pas au mal, aux ombres et au doute.
Car le crocodile, perfide et sans pitié,
Guette dans la nuit pour te faire tomber.

Verset 3
Ne cède pas à ses appels sournois,
Garde en toi la lumière, écoute cette voix.
Car la sagesse vraie, pure et éclatante,
Éloigne du chemin toute force errante.

Ainsi, homme prudent, dans cette lutte intense,
Affronte le crocodile, arme ta conscience.
Que ton esprit, guidé par la vérité,
Triomphe des ténèbres, bâtisse ta clarté.

Refrain
Garde ton cœur, mortel, au fil de ta route,
Ne cède pas au mal, aux ombres et au doute.
Car le crocodile, perfide et sans pitié,
Guette dans la nuit pour te faire tomber.

Outro

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Avec Philosophie L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

La Quantique du Chat

Plongez dans un univers où l’ordre et le chaos dansent ensemble au rythme d’une mélodie reggae paisible. « La Quantique du Chat » explore les mystères de la mécanique quantique à travers les yeux d’un chat philosophe. Avec une instrumentation acoustique et des vibes détendues, cette chanson vous invite à réfléchir sur les paradoxes de notre cosmos.

Intro
Dans un monde de mystère, j’ai rencontré un chat
Qui m’a parlé d’ordre et de chaos, imagine ça !

Couplet 1
J’ai levé la tête vers le chat du Cheshire
Lui posant une question sur notre univers
Entre l’ordre et le chaos, comment tout s’emmêle ?
Dans ce cosmos où tout semble se rebeller

Refrain
Oh, la quantique du chat
Ordre et chaos main dans la main
La quantique du chat
Dans l’univers, rien n’est certain

Couplet 2
Le chat m’a parlé d’un papillon en Asie
Dont les ailes provoquent des tornades, quelle folie !
Mais même ce chaos suit les lois du ciel
Les fluides en mouvement, un ordre essentiel

Refrain
Oh, la quantique du chat
Ordre et chaos main dans la main
La quantique du chat
Dans l’univers, rien n’est certain

Couplet 3
Les fractales, me dit-il, sont d’ordre éclatant
Mais leur naissance est un processus anarchisant
Les particules dansent, ondes et matière à la fois
La mécanique quantique nous montre la voie

Refrain
Oh, la quantique du chat
Ordre et chaos main dans la main
La quantique du chat
Dans l’univers, rien n’est certain

Couplet 4
L’univers s’étend, quel chaos grandissant !
Mais Hubble dicte un rythme bien captivant
La vie évolue, mutations hasardeuses
La sélection naturelle, loi mystérieuse

Outro
Ainsi, mon ami, médite cette leçon
L’ordre et le chaos dansent en union
Dans la toile cosmique, un ballet énigmatique
C’est ça, mon pote, la quantique du chat

Refrain
Oh, la quantique du chat
Ordre et chaos main dans la main
La quantique du chat
Dans l’univers, rien n’est certain

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Communion Sauvage

Intro
Biniou Bombarde

Couplet 1
Rochers, vagues, nuages – trinité primordiale
La Belle Breizh frémit sous le souffle de l’infini
Soleil, sable, écume – alchimie estivale
La mer pulse, haletante, dans son écrin de midi

Refrain
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Couplet 2
Énergie débridée, fureur des éléments
Nudité crue du monde, sans voile ni pudeur
Cruauté dévoilée, beauté des tourments
L’univers se dénude dans sa brute splendeur

Refrain
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Pont
Mon corps s’offre à l’appel des flots tumultueux
Je plonge, ivre d’azur, dans l’étreinte marine
Caressant le dos lisse des rouleaux fastueux
Goûtant l’écume amère sur ma langue saline

Couplet 3
Emporté, ballotté par le rythme des eaux
Je me laisse bercer par leur danse éternelle
Tourbillon extatique, ivresse sans repos
Jusqu’à l’épuisement de ma chair mortelle

Refrain
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Couplet 4
Enfin, rejeté sur le rivage doré
Épuisé mais comblé, l’âme encore vibrante
Je m’étends, pantelant, sur le sable nacré
Uni à l’univers en sa beauté violente

Refrain final
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Fin

Bruit des vagues

Communion Sauvage

Cette chanson est le résultat d’un poème de jeunesse que j’ai retravaillé. J’ai pensé à Albert Camus et à Noces à Tipasa mais ici la communion et la sensualité se passe avec l’Océan ou la Mer de Bretagne.

Au niveau musical, Manau est passé par ici.

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Amour Sidéral

J’ai la soif inextinguible d’une supernova,
Éclatante lactée, qui en ses bras me noie.
Pour étancher ma voie, mystère et foi en moi,
Je cherche l’âme pure, insaisissable éclat.

Le Graal insolvable, tel l’onde qui s’en va,
Dissout dans l’infini, tout comme mon émoi.
J’aspire à l’harmonie, fin d’une quête en soi,
Hermétique et subtile, à l’aube du trépas.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais partenaires.

Les étoiles naissent, meurent, et dans leurs ébats,
Je contemple l’absolu, au-delà des lois.
La quête transcendantale, sans roman, sans éclat,
Passe par la geste pure, sans trêve ni débat.

Entre un homme et une femme, par-delà le combat,
Il y a cette eau de vie, où l’âme se déploie.
Par un trait d’union entre l’ô et le choix,
Je commence à être libéré du fracas.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais partenaires.

Dans ses yeux, je vois l’univers, vastes firmaments,
Où des constellations dansent en fous mouvements.
Sa peau contre la mienne, fusion de nos éléments,
Chaleur et tendresse en fiévreux enivrements.

Nos âmes entremêlées, telles deux astres errants,
Cherchent l’éternité dans les baisers brûlants.
Dans ses bras, je suis captif, par des liens éclatants,
Rêvant d’une union infinie, aux désirs dévorants.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais partenaires.

Elle est mon oasis, ma source d’apaisement,
Dans ce désert aride de doutes et de tourments.
Sa voix, douce mélodie, apaisant mes tourments,
Nous sommes deux étoiles dans un ciel fulgurant.

Et quand la nuit se lève, et que nos corps se fondent,
Je sens en moi l’extase, comme une vague profonde.
Nos souffles se confondent, nos cœurs à l’unisson,
Nous touchons l’absolu, au-delà de la raison.

Et voilà que de notre union naît un Big Bang,
Explosion de rayons gamma, passions qui s’élancent,
Lessivant cette vie de ses tâches et de son rang,
Purifiée aux lèvres de ma tendre aimée, immense.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais loin de terre.

Ce poème est le résultat d’une reprise et d’un nouveau travail effectué sur un poème de jeunesse.

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Avec Philosophie Les essais de Pascal Rivière

L’Histoire Luit A Travers les Ombres

L’Histoire aujourd’hui se voile de nuages ​​sombres,
L’orage terrestre, annonçant un long hiver,
L’humanité frissonne face à ces ombres,
Qui menacent d’obscurcir notre univers.

Quand le passé s’efface et s’éteint,
Les cœurs errent dans des ténèbres lointaines,
Privés de sens, comme des âmes en peine,
L’avenir devient un chemin incertain.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Aliénés de l’inconscient profond,
Nous perdons notre essence, notre voie,
Dans les filets de la technologie froide,
L’humanité se meurt, se fond.

Le progrès nous déshumanise,
Rendant l’homme un simple artefact,
Sans racines, sans âme, sans tact,,
Nous marchons vers cet abîme qui brise.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Les crises du sens ne font que s’amplifier,
Sans mythes, sans récits pour guider,
Nous cherchons en vain des vérités,
Dans un monde fragmenté, démystifié.

L’ombre collective nous menace,
Les ombres projetées de nos peurs,
Explosent en conflits, en heures,
De destruction, de haine tenace.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Manque de conscience individuelle,
Nous sommes prisonniers de notre inconscience,
Incapables de nous libérer, en toute conscience,
D’une vie mécanique, superficielle.

Si nous oublions le passé, notre lumière,
Nous finirons à l’ombre, emprisonnés,
Dans les cages forgées par nos faits,
Perdus dans les ténèbres, sans repères.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Cherchons dans l’histoire, notre boussole,
Pour éclairer le chemin incertain,
Retrouvons la profondeur humaine, son lien,
Évitons les ombres, les rôles.

Pour que l’humanité retrouve son éclat,
Écoutons les leçons d’autrefois,
Réintégrons l’âme et la foi,
Et marchons ensemble, bras dans, bras.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Vers un futur où l’ombre recule,
Où l’homme est plus qu’un simple rouage,
Révélons les trésors de notre sage,
Et que la lumière, enfin, circule.

Inspiré par la citation d’Alexis de Tocqueville : « Quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres. » Cette citation provient de son œuvre célèbre « De la démocratie en Amérique »

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Le Jardin Imparfait

Je veux que la mort me trouve plantant mes choux,
Dans le jardin tranquille où fleurissent mes jours,
Sans crainte ni tristesse, de mes doutes absou,
Les pieds dans la terre, sous les cieux clairs toujours.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

Que le vent me berce, les saisons m’accompagnent,
Chaque feuille qui tombe me parle de demain,
La nature imparfaite, sous mes mains se dessine,
Comme un doux écho de mon propre destin.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

C’est dans les gestes simples que le bonheur réside,
Dans l’imperfection, la beauté s’exprime,
À l’ombre des choux, la vie trouve un guide,
Le calme et la paix, voilà mon ultime rime.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

Plantons nos choux, vivons chaque seconde,
Le jardin imparfait est le cœur de ce monde,
La mort nous trouvera, paisible et féconde,
Dans l’éclat de la vie, où nos âmes se fondent.

Ce texte est évidemment inspiré de Montaigne et largement inspiré de André Comte-Sponville

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Cherche le Bonheur Comme Il Vient

Au fond de l’âme et du cœur,
Sans chercher d’ailleurs,
Le bonheur trouve sa demeure,
Dans l’instant, sans peur.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Ce n’est pas dans la richesse,
Ni dans les grands succès,
Mais dans la simple tendresse,
Que le bonheur renaît.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

La sagesse d’accepter,
Ce qui ne peut changer,
Et la force de lutter,
Pour ce qui doit évoluer.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Dans l’amour que l’on donne,
Dans la vertu, la raison,
Le vrai bonheur résonne,
Comme une douce chanson.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Cherche le bonheur comme il vient,
Dans la simplicité des jours,
Sans le presser, sans le retenir,
Laisse-le fleurir dans son cours.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Souviens-toi, chaque jour est un cadeau,
Le bonheur n’est jamais trop loin,
Il est là, dans le souffle, le repos,
Dans chaque cœur, il trouve son chemin.

Ce texte est largement inspiré de André Comte-Sponville

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Chemin de Lune

Dans le silence de la nuit, le chemin d’argent s’ourle,
Une lune rousse, sentinelle de l’asphalte, s’éveille et surveille.
Elle frôle de ses rayons les rangs des lumières fidèles,
Des lampadaires, des étoiles veillant sur les sommeils mortels.
Le ciel noir, toile mystérieuse aux teintes d’encre et de charbon,
Accueille la lune, tache rougeoyante dans l’immense salon.
Elle baigne de son éclat orangé notre monde en repos,
Un astre capturé, dans les liens de la nuit, si beau, si haut.
Sous elle, les lumières artificielles, telles des constellations,
Alignées, solennelles, veillent sur nos perpétuelles rotations.
Elles guident les passants, les âmes solitaires en contemplation,
Dans l’écho silencieux de l’existence, leur seule destination.
La lune, témoin éternel des nuits sans fin,
Éclaire les pensées, les rêves et les desseins.
Dans ce paysage surréaliste qu’elle dessine dans l’air,
Elle crée une symphonie lumineuse, un opéra d’éther.
Et là, sous son regard d’onyx et d’ivoire,
La route s’étend, se perd dans le vouloir.
Un chemin lumineux, tenu dans l’étreinte de la nuit,
Où la lune et les lampadaires s’unissent, sans bruit.
Ainsi, dans le voile nocturne, s’écrit la ronde des lumières,
Un ballet surréaliste où chaque scintillement espère.
C’est la poésie de l’obscur, une ode à l’invisible,
Un souffle de vie, dans le silence, indélébile.